Le Culte de la louve noire
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Le Culte de la louve noire


 
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 Quand les sciences s'en mêlent

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Vendël
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Vendël


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MessageSujet: Quand les sciences s'en mêlent   Quand les sciences s'en mêlent Icon_minitimeJeu 1 Nov - 22:51

RP qui devait être pour le concourt que Mortania avait organisé mais qui est apparemment tombé à l'eau (pas étonnant vu la lenteur de notre rédaction XD)
___________________________________________________

TUUUT … TUUUT … TUUUT …
Le réveil sonnait déjà 7h lorsque Juliette émergea enfin du sommeil. Panique à bord, il est déjà trop tard, elle est en retard… Elle était sensée se présenter dans trois quarts d’heure dans le hall d’entrée du lycée.
« carrément mission impossible ». L’appartement complètement miteux dans lequel elle ‘vivait’ se désintégrait en plein centre de Lyon et le lycée le plus proche ne se trouvait pas à moins d’une demi-heure de route, sans prendre en compte la circulation infernale. L’adrénaline brûla et Juliette s’activa du mieux qu’elle le pouvait afin d’arriver présentable, et si possible avec le moins de retard.
Propre, habillée et fraîche comme un yaourt périmé, elle osa enfin jeter un coup d’œil désespéré sur la relique qui lui servait de réveil. Surprise surprenante, l’heure affichait 7h05.
« C’est ça, et moi je suis la reine des cabinets ! Je savais bien qu’il fallait le changer ce foutu réveil ! ». Elle avait pris le temps de déjeuner et de faire tout son bazar ce qui est absolument inconcevable à réaliser en cinq minutes. Quelle terrible découverte elle fit quand elle constata le même résultat sur son portable, tout neuf et sans défaillance éventuelle…

Au même moment, Vahéé s’afférait dans la salle de bain. Narcissique invétéré, le miroir s’avérait un ami hors du commun pour ce jeune homme solitaire et dépravé comme pas deux. Car sous ses charmes incontestés, l’esprit ne valait rien de mieux qu’un chewing-gum usagé : mou au début, et fossilisé sur la fin. Pas étonnant que personne ne veuille de lui autrement que pour son parfait maniement de la langue.
Comme à son habitude il alluma la radio en grillant une cigarette, la troisième en une heure. Ce jour là, un quizz au sujet des centrales nucléaires avait été organisé à l’encontre des auditeurs. Les questions paraissaient assez simples, Vahéé connaissait chaque réponse.
« Trop facile ce truc » ce qui n’était pas l’avis de tous. Au fur et à mesure que les questions s’enchaînaient, il s’étonnait de plus en plus : comment pouvait-il répondre alors qu’il n’avait jamais rien appris à propos du nucléaire ?

« Incroyable ! » Juliette savait qu’elle avait fait vite, mais pas à ce point là. « Réveille-toi ma vieille, tu rêves encore ». Mais les pincements et les claques n’avaient aucun effet : il était certain qu’elle ne dormait pas. Elle se rendit donc à l’évidence : elle avait mal regardé l’heure à laquelle elle s’était levée. C’était la seule explication.
Le bon côté des choses : elle arriva à 7h35 au lycée, dix minutes en avance ce qui fut un exploit pour elle qui ne connaissait rien à la ponctualité.
Comme chaque année tous les yeux étaient rivés sur elle. En effet, son style garçon manqué lui valait souvent quelques moqueries due à ses tenues que l’on pouvait qualifier de « guenilles ». Ce n’est pas de sa faute si son père – qui soit dit en passant n’est pas son père biologique – croie que le chômage est un emploi à part entière.
De toute manière, elle s’en fichait. Le peu d’argent qu’elle avait économisé avait été dépensé pour ses Dreadlocks, sa seule fierté. Un coup d’œil à la constitution des classes, l’arrivée du prof principal et la voilà engouffrée dans l’éternel endroit où elle passerait 60 % de son temps : la salle de classe…


« Tu n’vas tout d’même pas sortir dans cet état ?!
- Et pourquoi pas ?
- Ce n’est pas une tenue, enlève moi vite ces horreurs et met quelque chose de plus correcte ». Toujours le même rituel, Fabienne ne supportait pas de voir sa fille habillée comme si elle partait pour le cimetière : tee-shirt noirs avec l’habituel skull, pantalon noir clouté sans oublier les énormes Rangers ferraillées.
« C’est d’un glauque, j’me demande bien si tu as ne serait-ce qu’une miette de bon sens » souffla inespérément Fabienne dans l’espoir qu’un jour Elliot changerait. Inutile de préciser que sa fille n’écoutait pas un mot et s’en alla (en claquant la porte bien sûr) direction le bahut. Nightwish dans les oreilles, elle laissa son esprit vagabonder le temps du trajet en bus qui menait tout droit vers l’enfer. Un an dans l’établissement lui avait largement suffit pour le haïr lui, et tout ce qui s’y trouvait à l’intérieur. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle se mit à travailler dur dans l’objectif de passer en Terminale L et ainsi quitter le plus vite possible ce « carcan juvénile », comme elle l’appelait. Une bande de petites minettes invivables et respirant l’hypocrisie la tira de ses songes : la navette accostait à bon port et l’excitation emportait tout le monde dans une jubilation effrénée. « Quelle connes celles là » Rien ne l’énervait plus que ce genre de filles enfarinées raffolant de potins, se maquillant toutes les cinq minutes et ne sentant plus pisser dès qu’un garçon les regardait.
[…]
Quatre heures plus tard et elle sortit enfin de classe. Seul rayon de soleil de la journée : Jake, son confident et meilleur ami. Le seul capable de la comprendre.
« T’es là ! Je t’ai cherché toute la matinée !
- Ouè, moi aussi mais avec tout ce monde c’est infernal. Alors cette classe ?
- Bof, quelques pin-up qui me mettent les nerfs en plotte comme d’hab mais sinon ça va. J’me retrouve encore avec Msieu Despinasse en Français.
- Tinn la chance… »
Ils conversèrent ainsi pendant plus d’une heure, à débattre sur les qualités des profs, car il ne faut pas se le cacher, certains vous transmettent vraiment l’envie d’apprendre avec passion.
« Au fait, j’voulais te parler d’un truc qui m’a semblé assez insolite. En attendant la sonnerie ce matin, j’écoutais brièvement les discussions d’un groupe de deux filles de ma classe. Le racontage de vacances habituel comme toujours, mais l’une des deux avouait qu’elle avait été obligée de rester chez elle car ses parents travaillaient et ne pouvaient pas prendre de congés. Je ne la connais absolument pas et pourtant je savais, ou plutôt ressentais qu’elle ne disait pas la vérité. La sensation était assez étrange, comme si tout mon être était persuadé qu’elle mentait. Comment t’expliques ça toi ?
- Oh, ça devait être le stress de la rentrée qui devait te travailler et t’as interprété ça comme quelque chose d’inhabituel, c’est rien. Tu viens le bus est arrivé ! » Elliot se troubla. La réaction de Jake n’avait pas été celle qu’elle attendait. Mais quelque chose la perturba d’avantage : elle ressentit la même chose qu’avec la fille de ce matin, mais cette fois ci envers son ami…


Dernière édition par le Ven 2 Nov - 16:09, édité 1 fois
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Mortania
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Mortania


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MessageSujet: Re: Quand les sciences s'en mêlent   Quand les sciences s'en mêlent Icon_minitimeVen 2 Nov - 16:06

La suite demain sinon jte plante mes crocs en plastique dans le derriere
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Vendël
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MessageSujet: Re: Quand les sciences s'en mêlent   Quand les sciences s'en mêlent Icon_minitimeVen 2 Nov - 18:07

mais on est demain albino
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Il était 17h00 et Vahéé avait déjà conquis le « bar d’en face du bahut ». Après les explications interminables et conventionnelles à toutes les rentrées en Terminale, il n’avait eu d’autre idée que d’offrir un verre à la plus jolie fille de sa toute nouvelle classe.
L’érudition dont il a fait preuve ce matin n’avait qu’accentué son égo surdimensionné, traduit par l’air le plus hautain qu’aucun homme ne pouvait afficher. Il n’avait même pas cherché à comprendre, tant que ça lui offrait une certaine supériorité vis à vis des autres il se fichait pas mal du comment et du pourquoi. Toutefois, en aucun cas il ne se serait douté d’une récidive.
Il pleuvait des cordes ce jour là, l’ambiance émise par le teint grisâtre du ciel représentait d’ailleurs assez bien l’état d’esprit de tous les acteurs de cette reprise à la vie étudiante. Vahéé profita donc du temps pour rester plus longtemps. Assis au fond de la salle sur un canapé, mort-vivant il fuyait loin du temps présent avec pour seule compagne Satine, sa guitare. Les ondes musicales qu’envoyaient les cordes de nylons emmenaient leur maître aux portes d’un monde où nul ne pouvait y parvenir. Les yeux fermés, les doigts jouant par automatisme et l’esprit flâneur, Vahéé avait atteint son Nirvana…

Aujourd’hui était un jour comme les autres pour Alexis : pas de rentrée scolaire pour lui. Attablé avec Victor, d’un an son aîné, Alexis croquait en silence son quignon de pain.

« C’est le jour de repos aujourd’hui. Faudra que j’aille laver mes fringues tu viendras avec moi ? » Le ton qu’employait Victor cachait faussement l’idée qu’il avait en tête et Alexis le savait bien, ce n’était aucunement une question. La lueur qui scintillait dans ses yeux encore deux ans auparavant avait disparu, laissant derrière elle la tristesse d’un regard perdu. Alexis avait toujours fait preuve de courage et ne s’était pas laissé succomber quand il avait apprit le décès de sa mère, il n’avait alors que 13 ans. Et le voilà cinq ans après dans la plus grande détresse.
Un évènement inattendu avait malencontreusement accentué de plus belle son abattement. Cette nuit s’est en effet déroulée d’une manière plus mouvementée que les autres : pris d’insomnie, Alexis repensait à tous les projets d’avenir qu’il avait planifié et surtout, il repensait à sa sœur. L’ambition et la volonté la qualifiaient parfaitement ; sa joie de vivre et ses sourires suffisaient à illuminer la vie de son frère. Rien ne l’avait ébranlée jusqu’au jour où leur mère disparut : il avait fallu des mois et des mois de consolation pour que Alexis redécouvre ne serait-ce que l’esquisse d’un sourire sur le visage familier de sa sœur. Etant donné que leur beau-père se fichait pas mal de leur situation, Alexis entreprit de travailler afin de subvenir aux besoins quotidiens. Seulement son maigre salaire ne suffisait pas. Sa sœur étudiait au lycée ; elle avait son âge mais Alexis préférait qu’elle donne chance à ses rêves en allant à l’école. Ils essayaient de s’en sortir du mieux qu’ils le pouvaient, seulement le manque d’argent se faisait ressentir plus cruellement chaque jour. C’est alors qu’Alexis envisagea une solution assez discutable : il accepta de vendre de l’héroïne contre quelques billets. Cette idée l’avait rongé au plus profond de lui-même, honteux et indigne pour un fils. Sa mère devait certainement l’avoir renié de Là-Haut…
Envoûté par ses pensées, il n’avait pas remarqué la silhouette qui l’observait depuis quelques minutes. Un instant de plus et la surprise battait son plein : l’effarement qui l’envahit soudain traduisait l’ébahissement qui le tenaillait face à cette situation.

« Je suis fou, maman est morte arrête de te faire des films, murmura-t-il à soi-même.
- Non mon fils, la lucidité ne t’a jamais quitté.
- Maman ?! réussit-il à prononcer tant bien qu’mal avec plus d’étonnement que de peur.
- Alexis, écoute-moi, je suis revenue car tu m’as appelée. Je ne sais pas plus que toi comment tout cela est possible. Je peux t’assurer en tout cas que cela provient du miracle ; un miracle qui va enfin m’offrir la chance de te dire à quel point je suis fière de toi. Je connais tes sentiments, je sais que tu te dégoûtes d’être là où tu es, mais je sais aussi que tu as fait de ton mieux pour toi et ta sœur.
- Maman, attend ! » il était trop tard, la lumière de son corps incandescent s’estompa petit à petit jusqu’à disparaître complètement. Alexis ne savait plus où il en était : sa mère venait de lui parler alors qu’elle était décédée. Il ne s’endormit qu’après avoir essayé de se convaincre de l’impossibilité de l’évènement, seule solution : il devenait fou.
« Oh, tu rêves ou quoi ! Je t’ai dit de me suivre, et tout d’suite ! » Sans s’en rendre compte, Alexis avait quitté le réfectoire. La brutalité de son compagnon le fit revenir de ses pensées. Il savait qu’il n’avait d’autre solution que de suivre Victor…
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Vendël
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MessageSujet: Re: Quand les sciences s'en mêlent   Quand les sciences s'en mêlent Icon_minitimeLun 5 Nov - 20:36

Deux semaines s’étaient écoulées depuis que Juliette était rentrée en Terminale, ce fameux jour si détesté des étudiants. Toutefois, les cours n’ont pas été les seuls à débuter : une série de phénomènes assez curieux étaient survenus depuis cette journée. Tout le monde se méfiait les uns des autres. Vous allez m’dire que c’est normal, que l’Homme est un être égoïste et homophobe, la méfiance caractérisant incontestablement son fonctionnement. Seulement là c’était différent. Certains affirmaient même que toute l’espèce humaine n’était qu’un déchet bon pour la poubelle, leur confiance n’étant accordée que pour les murs, et encore…
Juliette s’exaspérait de cette attitude absurde. Elle avait vaguement entendu parler de recherches scientifiques visant à modifier l’ADN humain. Un reportage au sujet de ces projets de science avait été diffusé à la télévision une semaine auparavant : plusieurs chercheurs garantissaient le succès de leur travail et affirmaient avoir réalisé des expériences au préalable. C’est à ce moment là que tout le monde se demandait qui était humain ou qui ne l’était pas. Aucune précision n’avait été apportée sur le sexe des individus, leur âge, lieu et combien ils étaient.
Bref, la panique à bord ! Malgré cela, Juliette avait d’autres soucis en tête : son beau-père n’arrangeait rien, il passait son temps à ne rien faire. Elle devait à la fois se concentrer sur ses études et sur la gestion du foyer, les factures et tout le reste, même à travailler dans une crêperie le weekend pour combler les fins d’mois.
Heureusement, elle avait réussi à ce lier d’amitié avec quelques personnes de sa classe en dépit de son caractère assez solitaire. Elle l’aimait bien au fond cette Terminale. Il y en avait particulièrement une qui l’intriguait : sa façon de penser avait suscité un certain intérêt pour Juliette. En fait, elle raisonnait exactement comme elle. Plus les jours défilaient, et plus elle voulait la connaître.

« Aïeuh !! Tin mais fait gaffe où tu marches, imbécile ! » La vois tonitruante de Juliette avait jeté son dévolu sur un garçon qui venait de la bousculer à la sortie du cabinet médical d’où elle sortait. La première impression qui la frappa était sans aucun doute son aspect squelettique ayant une très forte ressemblance avec un balai.
« Ouè oh ça va hein la clodo. ‘pas fait exprès’ » Quelle éducation, hum, ça donnait envie de lui parler à ce jeune homme.
« Tu t’es vu espèce de barre de fer, même un rat ne voudrait pas de ton costard trois pièces, ‘Monsieur j’me la pète’.
- Quoi, t’es jalouse ? Si j’étais toi je f’rais attention, t’as un poulpe périmé sur la tête.
- Ca s’appelle des Dreadlocks, inculte !
- Ouè, un poulpe périmé, c’est c’que j’dis. Tu vas où au fait ?
- Ca t’regardes ?!
- Oui.
- Non.
- Comme tu veux. Alors à la prochaine peut-être.
- C’est ça à jamais.
- Au fait…
- Quoi ?
- Nan, rien » Juliette le vit partir en direction du bar. Même l’éclat de la plus belle lune en son jour plein n’aurait pu rivaliser avec le sien.
La nuit commençait déjà à étouffer les derniers rayons du soleil, laissant deviner les premières étoiles. Par réflexe Juliette tendit le cou vers le ciel, s’abandonnant ainsi dans la contemplation des astres, sa seule et unique passion…


La section scientifique dans laquelle Vahéé étudiait imposait un niveau de travail titanesque, réduisant pratiquement à néant les temps libres. Il bossait donc jusqu’à tard le soir s’offrant rarement des pauses, ce qui se vérifiait très nouveau pour lui. L’année dernière s’était en effet achevée lamentablement : les sorties en boîtes de nuit resserraient de plus en plus les liens psychoactifs qui envoûtaient Vahéé. Pas un seul jour ne s’écoulait sans la consommation de stupéfiants. Inutile donc de préciser la chute phénoménale des résultats scolaires, principales victimes de son comportement inconscient. Son passage en Terminale avait donc engendré quelques polémiques à son sujet ; la décision finale n’assurait pas le redoublement à condition qu’il fasse preuve d’un travail acharné, lequel s’est affirmé sérieux. En dépit de son irrésistible attirance envers toutes les substances addictives, Vahéé a su – du moins ces deux premières semaines – prouvé qu’il valait bien mieux que tout ce qu’on lui reprochait. Il savait au plus profond de lui-même qu’il possédait quelque chose de particulier, quelque chose que nul ne comprendrait, sans cesse harcelé par sa mère qui le critiquaient et le qualifiait de prétentieux. C’est pour cela qu’il s’était mis à prendre de la drogue, pour « faire comme tout l’monde ».
Les évènements de ces derniers temps l’avaient en quelque sorte redirigé sur le droit chemin. D’abord son incroyable mésaventure avec les réponses des quizz qu’ils connaissaient, ensuite l’arrivée brutale d’un père inexistant jusqu’à la semaine dernière. L’émission diffusée à propos des étendus en progrès scientifiques au sujet du développement du génome humain avait pour certain créé le mépris et pour d’autre – comme ce fameux père – un sentiment de rapprochement inexplicable, ou du moins inattendu.

« La séance est terminée pour aujourd’hui monsieur O’Connor. Nous prendrons rendez-vous dans trois semaines » Le psychiatre s’occupait de Vahéé depuis maintenant quatre ans.
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MessageSujet: Re: Quand les sciences s'en mêlent   Quand les sciences s'en mêlent Icon_minitime

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